On va vous expliquer un peu comment Montpellier CityCrunch fonctionne de l’intérieur : qui se trouve à sa tête, quelle est sa ligne éditoriale, la façon dont on s’y prend pour dégoter des bons plans à Montpellier … bref, on vous dit tout.
Qui dirige Montpellier CityCrunch ?
Montpellier CityCrunch est constituée d’une équipe de rédacteurs bénévoles, mais pas que.
Déjà, il a le fondateur de site.
Le papa de Montpellier CityCrunch s’appelle Qyrool et c’est un peu le chef suprême de City Crunch puisque c’est lui qui est à l’origine du tout premier CityCrunch,à Lyon (le concept ayant ensuite été dupliqué à Montpellier, Lille et à Montréal).
Il y aussi :
Guillaume, le responsable commercial a.k.a la personne à contacter pour tout ce qui touche aux partenariats commerciaux (bannière publicitaire, article sponsorisé, dispositif événementiel)
Marika,la responsable événementielle : c’est elle qui s’occupe d’organiser les apéros-lecteurs, un rendez vous convivial à destination de nos lecteurs qui a lieu chaque mois dans un chouette bar partenaire à Montpellier.
Ensuite vient Suzie, la responsable éditoriale. C’est elle qui manage l’équipe de rédacteurs et s’assure qu’il y a toujours des contenus sympas et nouveaux à vous proposer. C’est aussi elle qui gère une de nos rubriques phare : les bons plans du week-end.
Sans oublier la graphiste, Emilie, grâce à qui on peut vous proposer de super visuels (avec tout plein de mouettes masquées).
Montpellier CityCrunch ne serait ce qu’il est aujourd’hui sans la contribution de toutes ces personnes !
Comment on s’y prend pour dénicher des bons plans à Montpellier ?
Nous avons en gros deux façons de procéder.
1) On teste une adresse ou une activité à Montpellier en mode incognito selon nos envies et nos centres d’intérêts
La grande majorité de nos billets naissent de l’envie des chroniqueurs de tester telle adresse / telle activité à Montpellier et ses alentours. Autrement dit, c’est un reflet de nos envies et de nos centre d’intérêts.
Lorsqu’on teste spontanément une adresse ou une activité, on le fait toujours en mode incognito : c’est à dire qu’on ne révèle pas notre identité de chroniqueur CityCrunch lorsqu’on se rend sur place, on agit comme un(e) client(e) lambda et on écrit uniquement si cela nous plaît (et si nous avons le temps, bien sûr, ce qui est pas toujours le cas … ). Et bien sûr, on paye de notre poche.
Pourquoi le mode incognito ? Pour éviter un traitement de faveur de la part de l’établissement testé qui pourrait donner lieu à un article pas ou peu authentique, et donc pas ou peu fiable.
2) On teste une activité qui a l’air cool suite à une invitation
Il nous arrive aussi de tester des activités suite à des invitations. On reçoit en effet toutes sortes d’invitations mais on accepte uniquement celles qui sont liées à des activités qui pourraient intéresser nos lecteurs et où l’expérience ne sera pas biaisée par rapport à un test classique.
On ne teste donc jamais d’adresses (resto, bar, café …) sur invitation : on part du principe que dans le cadre d’une activité on est tous logés à la même enseigne et qu’il n’est pas tellement possible de nous faire un traitement de faveur (contrairement à un resto ou un bar)(voir paragraphe plus haut).
Encore une fois, on écrit uniquement si l’endroit nous plaît même si on le teste à la suite d’une invitation. Et on précise toujours qu’il s’agit d’une invitation dans l’introduction de l’article.
Nos dispositifs de communication payants
Au delà des billets que nous rédigeons, nous avons également mis en place des dispositifs payants à destination d’annonceurs souhaitant toucher notre communauté.
Bannières publicitaires : header, pavé sumo, pavé carré, footer …
Dispositifs rédactionnels (sur devis et sur mesure)
Dispositifs événementiels (sur devis et sur mesure)
N’hésitez pas à contacter Guillaume notre responsable commercial par ici.